SOPK et grossesse : les traitements naturels pour tomber enceinte 10 à 20 % des femmes vivent avec le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). La routine altérée des problèmes hormonaux devient encore plus pénible lorsqu’on essaie de concevoir un enfant ; le SOPK est l’une des principales causes d’infertilité chez les femmes. Il n’existe actuellement aucun traitement pour le SOPK, mais un mode de vie sain et des remèdes naturels peuvent atténuer les symptômes et augmenter les chances de conception.
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Ovaires polykystiques : quels sont les effets sur la fertilité ? SOPK et grossesse
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) constitue la principale pathologie endocrinienne féminine en âge de procréer, se manifestant fréquemment par des troubles de la fertilité. Près de la moitié des femmes atteintes de ce syndrome sont confrontées à une infertilité. Ce déséquilibre hormonal, caractérisé par une hyperandrogénie, est associé à un risque accru de complications obstétricales telles que le diabète gestationnel, l’hypertension artérielle gravidique et la prématurité.
L’hyperandrogénie constitutive du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) en fait la première cause endocrinienne d’infertilité féminine. Cette pathologie, prévalente chez les femmes en âge de procréer, est associée à un risque obstétrical majoré, incluant notamment le diabète gestationnel et les complications hypertensives de la grossesse.
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Infertilité, hirsutisme, hyperandrogénie, acné : réduire les symptômes du SOPK grâce aux traitements naturels SOPK et grossesse
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’anomalie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer et la première cause d’infertilité féminine, environ la moitié des patientes atteintes du SOPK souffrant d’infertilité. Ce déséquilibre hormonal s’explique par une surproduction de testostérone, une hormone normalement présente chez l’homme. Pendant la grossesse, le SOPK est un facteur de risque de diabète gestationnel, d’hypertension gestationnelle, de pré-éclampsie, de prématurité et de faible poids à la naissance.
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Infertilité : le SOPK peut-il disparaître ? SOPK et grossesse
Les traitements actuellement disponibles ne peuvent pas guérir le SOPK, mais ils peuvent en traiter les symptômes. Les traitements hormonaux (contraceptifs oraux, antiandrogènes) doivent être accompagnés de modifications du régime alimentaire et du mode de vie et peuvent être soutenus par des thérapies naturelles.
Soigner son alimentation pour améliorer ses chances de tomber enceinte
La surcharge pondérale est un facteur important à prendre en compte. Il est en effet avéré qu’un IMC élevé augmente le risque d’infertilité associé au syndrome des ovaires polykystiques. Le risque de troubles de la fertilité serait augmenté de 27 % pour les femmes présentant un surpoids et de 78 % pour les femmes présentant une obésité. SOPK et grossesse
Des mesures hygiéno-diététiques telles que l’adaptation de l’alimentation, l’augmentation de l’activité physique, l’arrêt du tabac et de l’alcool peuvent être prises pour influer sur l’hygiène de vie et la fertilité.
Chez les femmes en surpoids atteintes du SOPK, il a été démontré qu’une perte de 10 % du poids initial permettait de réguler les cycles menstruels et d’améliorer la fonction reproductive. Cependant, chez les femmes de poids moyen, il n’y a pas de bénéfice évident à perdre du poids. SOPK et grossesse
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