Remède naturel dystrophie ovarienne

Remède naturel dystrophie ovarienne Traitement Traditionnel

Remède naturel dystrophie ovarienne La dystrophie ovarienne est une affection hormonale très complexe qui survient chez les femmes et les rend infertiles ou incapables de concevoir en raison de ses effets sur la phase d’ovulation. C’est donc l’une des causes les plus fréquentes d’infertilité féminine.

Prière Nous Joindre 

Nous joindre directement sur WhatsApp pour vos commandes: Cliquez ici +22966067770

Causes de la dystrophies ovariennes

La cause exacte n’est pas encore connue. On pense toutefois que l’hyperandrogénie est due à une surproduction d’androgènes, ou hormones stéroïdiennes mâles, qui perturbent le bon fonctionnement des ovaires. Cela peut être dû à des problèmes génétiques ou à des changements ovariens primitifs. Il existe de nombreuses causes associées à cette hyperandrogénie.

Nous joindre directement sur WhatsApp pour vos commandes: Cliquez ici +22966067770

Symptômes de la dystrophie ovarienne

Différents signes ou manifestations peuvent survenir. Il peut s’agir :

  • des règles irrégulières, peu fréquentes ou totalement absentes (aménorrhée) ou au contraire ;
  • des ménorragies ou règles très abondantes ;
  • un hirsutisme ou hyperpilosité sur visage, le cou, etc. qui généralement est du à une forte sécrétion de testostérone ;
  • de l’acné ;
  • une alopécie ;
  • un acanthosis nigricans ou brunissement et épaississement de la peau au niveau du cou, de l’aine, des aisselles et des replis cutanés.

Il arrive que tous les symptômes ne soient pas présents, ce qui peut rendre le diagnostic un peu plus compliqué. Par conséquent, le diagnostic est désormais posé lorsqu’au moins deux symptômes de la maladie de Rotterdam sont présents, à savoir:

Nous joindre directement sur WhatsApp pour vos commandes: Cliquez ici +22966067770

Différents types de dystrophies ovariennes

a ) Ovaires polykystiques de type 1 ou syndrome de Stein-Leventhal

Son diagnostic repose sur :

  • une spanioménorrhée progressive et sévère pouvant aboutir à l’aménorrhée avec anovulation
  • de gros ovaires lisses, indolores, de volume constant
  • l’infertilité
  • l’hirsutisme
  • l’obésité

A l’échographie, il se distingue par :

  • des ovaires qui ont augmentés de taille ;
  • de nombreux microkystes folliculaires à la périphérie ;
  • un stroma épaissi et hyperéchogène

Sur le plan biologique, il est caractérisé par :

  • un taux de FSH normal ;
  • une élévation de la LH avec un rapport LH/FSH supérieur à 2 ;
  • une réponse explosive au test au GnRH ;
  • des taux d’androgènes à savoir le delta 4 androstènedione et de testostérone, élevés au niveau stéroïdien

Schématiquement, l’androstènedione, le principal androgène sécrété par l’ovaire, s’aromatise en estrone, qui se transforme à son tour en estradiol. L’excès d’androgènes provoque une hyperœstrogénémie, qui augmente la sensibilité de l’ovaire à la sécrétion pulsatile de GnRH par l’intermédiaire d’une rétroaction vers l’hypophyse. Il en résulte une augmentation de la libération de LH.

Cette libération chroniquement accrue de LH entraîne une surstimulation du stroma ovarien et de l’endomètre, ce qui entretient la surproduction d’androstènedione. C’est l’un des cercles vicieux de ce syndrome.

L’obésité contribue également à ce syndrome. La capacité à aromatiser les androgènes en œstrogènes, soit directement par le tissu adipeux, soit par l’hyperinsulinémie et la résistance à l’insuline, est un facteur d’hyperandrogénie.

Nous joindre directement sur WhatsApp pour vos commandes: Cliquez ici +22966067770

b ) Ovaires polykystiques de type 2

Il est identique à celui du type 1 à la différence que dans ce cas, la LH étant normale et le rapport LH/FSH conservé.

Ici, les ovaires polykystiques de type 2 sont secondaires à une affection qu’il faut d’identifier. Ca peut-être :

  • le syndrome de Cushing ou hypercorticisme iatrogène ;
  • l’hyperplasie congénitale surrénalienne à révélation tardive (bloc en 21 ou en 11 hydroxylase) ;
  • l’hyperthécose ovarienne ;
  • l’hyperprolactinémie ;
  • la dysthyroïdie ;
  • une tumeur androgéno-secrétante de l’ovaire ou de la surrénale, qu’il faut urgemment et forcément éliminer sinon, et vers laquelle oriente l’installation brutale d’une hyperandrogénie sévère.

c ) Ovaires polykystiques de type 3

En réalité, ce sont des manifestations de dysovulation. Ils se manifestent sous forme :

  • de kyste fonctionnel ;
  • de dystrophie macro-polykystique qui serait une maladie de l’atrésie folliculaire

Les ovaires augmentent de volume avec l’allongement du cycle. Ils sont donc :

  • variables ;
  • douloureux ;
  • irréguliers ;
  • et bosselés

L’augmentation atteint son apogée au début de la période menstruelle. En règle générale, le contexte psychologique est particulier : irritable, instable et nerveux. En outre, sur le plan histologique, la coque entourant l’ovaire est irrégulière. Les kystes sont également de taille irrégulière et ne sont pas alignés, contrairement au SOPK de type 1.

En outre, les cycles sont longs, l’ovulation est tardive et la phase lutéale est courte. Les androgènes plasmatiques sont souvent élevés. L’estradiol plasmatique est similaire et les niveaux de progestérone sont bas.

Ce type 3 d’ovaires polykystiques est favorisé par :

  • les facteurs d’environnement et le stress ;
  • des traumatismes psycho-affectifs ;
  • des facteurs infectieux ;
  • les facteurs vasculaires ou mécaniques.

Dystrophie ovarienne traitement naturel, traditionnel par les plantes

Vous souffrez d’une dystrophie ovarienne ?

Avez des difficultés à tomber enceinte ou à avoir un bébé ?

Service de renseignement

Pour tout vos désire d’achat ou de renseignement: Contacter nous ici ou visiter plus notre site pharmabio-sante.com Vous pouvez toutefois échanger de votre problème de santé avec un conseiller médical.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Panier
Conversation
1
EN LIGNE 24h/24h
Mme/ Mr Comment puis je vous aider ?