AVC: L’hôpital européen peut-il sauver 5000 vies ?

AVC: L’hôpital européen peut-il sauver 5000 vies ?

AVC: L’hôpital européen peut-il sauver 5000 vies ? Un accident vasculaire cérébral (AVC), également souvent encore appelé « attaque », survient lorsque la circulation sanguine vers ou dans le cerveau est interrompue par un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique le plus fréquent) ou par un vaisseau sanguin rompu (AVC hémorragique), dans moins de 15% des cas.

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HOUEDANOU Yannick

Faiblesse d’un côté du corps Engourdissement ou douleur au visage, au bras ou à la jambe Difficulté à parler ou à comprendre ce que l’autre personne dit Déficience visuelle (par exemple vision double ou perte de vision, en particulier d’un œil)
L’excès de cholestérol. L’absence d’activité physique régulière. La consommation élevée de boissons alcoolisées. La prise de certains médicaments, par exemple la prise pendant plusieurs années de traitements hormonaux de la ménopause.
Les différents types d’accidents vasculaires cérébraux
  • L’AVC ischémique (ou infarctus cérébral) (85%des cas)
  • L’AVC hémorragique (15% des cas)
  • L’Accident Ischémique Transitoire (AIT)

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DÉCRYPTAGE AVC: L’hôpital européen peut-il sauver 5000 vies ?

Seul un patient sur deux a accès à une salle privée. Il y a en particulier une pénurie de 75 lits. Cette année, 130 000 personnes seront victimes d’un accident vasculaire cérébral, 40 000 en mourront et 30 000 survivront avec des séquelles graves. Mais 5 000 décès et dépendances peuvent être évités. Ce qui peut être fait, comme l’a annoncé l’Académie de Médecine fin septembre, c’est de créer 75 lits dans l’Unité Neurovasculaire (UNV), un service dédié au traitement des accidents cardio-vasculaires.

Dans toute l’Europe, les unités neuro-vasculaires sont utilisées pour traiter les accidents vasculaires cérébraux, une urgence absolue. Le professeur Charlotte Cordonnier, neurologue à l’hôpital de Lille, explique que cette méthode, mise au point à une époque où aucun traitement n’était disponible, a permis de réduire la mortalité de 2 % et les séquelles de 12 %. Comment expliquer ces progrès ? En réunissant en un même lieu des spécialistes et des équipes médicales. Elle permet de prévenir toutes les complications liées à l’AVC, comme les infections pulmonaires après un problème aux poumons… » .

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